Définition |
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| ALL |
Les caractéristiques matérielles du film cinématographique. La zone 007 est valide dans tous les formats. Vous pouvez coder les caractéristiques matérielles des composantes d'un document, par exemple le matériel d'accompagnement. |
| VIS |
Utiliser la zone 007 pour les films cinématographiques et leurs caractéristiques sonores. Utiliser pour les films cinématographiques, qu'ils soient publiés séparément ou en tant que composantes individuelles d'un ensemble multisupports. |
Exemples |
Utilisez les exemples suivants comme lignes directrices pour saisir des données dans la zone 007 pour les films cinématographiques.
| 007 |
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m ǂb r ǂd c ǂe a ǂf a ǂg a ǂh d ǂi s |
| 300 |
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2 film reels (170 min.) : ǂb sound, color ; ǂc 16 mm |
| 500 |
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Stereophonic sound |
| 007 |
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m ǂb r ǂd c ǂe a ǂf a ǂg b ǂh b |
| 300 |
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1 film reel (10 min.) : ǂb sound, color ; ǂc super 8 mm |
| 500 |
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Super 8 mm version has magnetic sound track |
| 007 |
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m ǂb r ǂd c ǂe a ǂf a ǂg a ǂh d |
| 007 |
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m ǂb r ǂd c ǂe a ǂf a ǂg b ǂh b |
| 300 |
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1 film reel (14 min.) : ǂb sound, color ; ǂc 16 mm |
| 500 |
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Also issued in super 8 mm with magnetic sound |
| 007 |
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m ǂb r ǂd c ǂe a ǂf a ǂg a ǂh d ǂi m ǂj n ǂk a ǂl r ǂm t ǂn a ǂo u ǂp a ǂq c ǂr 198606 |
| [Le document est un film cinématographique (007/00) sur bobine (01) en couleurs (03); il possède une ouverture standard de son (04) sur le support (05), une piste optique (06), une bande de 16 mm (07), du son monophonique (08); les éléments de production ne s'y appliquent pas (09); le document possède une émulsion positive (10); il s'agit d'une copie de référence ou d'une copie de visionnement (11) sur un support de sécurité (triacétate) (12); il s'agit d'un film à trois couches, couleurs (13); on ne connaît pas le genre de substance colorante (14); aucune détérioration apparente (15); c'est un film complet (16) inspecté en juin 1986 (17 22).] |
| 007 |
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m ǂb r ǂd b ǂe f ǂh f ǂi n ǂj n ǂk a ǂl r ǂm t ǂn n ǂo n ǂp a ǂq i ǂr 198512 |
| [Le document est un film cinématographique (007/00) sur bobine (01) en noir et blanc (03) possédant une ouverture standard de silence (04); il s'agit d'un film muet (05 06) de 35 mm (07); le genre de son et d'éléments de production ne s'y appliquent pas (08 09); la pellicule possède une émulsion positive (10); il s'agit d'une copie de référence (11) sur support de sécurité (triacétate) (12) pour lequel les catégories de couleurs et la substance colorante ne s'y appliquent pas (13 14); aucune détérioration apparente (15); c'est un film incomplet (16) inspecté en décembre 1985 (17 22).] |
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Premier indicateur |
Non défini. La position du premier indicateur est non définie et contient un blanc.
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Non défini |
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Second indicateur |
Non défini. La position du second indicateur est non définie et contient un blanc.
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Non défini |
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Sous-zones |
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| ǂa Indication générale du genre de document |
Un code alphabétique à un caractère qui indique que le document fait partie de la catégorie Film cinématographique.
| m |
Film cinématographique. Le document est un film cinématographique, défini comme une série d'images fixes sur pellicule, avec ou sans son, conçues pour être projetées en succession rapide afin de produire l'effet optique du mouvement. |
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| ǂb Indication spécifique du genre de document |
Un code alphabétique à un caractère qui décrit la catégorie particulière (habituellement la catégorie de l'objet physique) dont le document fait partie (par exemple un film en bobine).
| c |
Film en cartouche. Un film en cartouche est une seule bobine de film logée de façon permanente dans une cartouche dont les deux bouts se rejoignent pour former une boucle permettant la lecture sans rebobinage |
| f |
Film en cassette. Un film en cassette est un film logé dans une cassette formée d’une bobine débitrice et d’une bobine réceptrice qui permet la lecture et le rebobinage de bobine à bobine. |
| o |
Rouleau de film. Un rouleau de film qui n'est pas enroulé sur une bobine, dans une cassette, etc. |
| r |
Film en bobine. Une bande de films enroulés sur une bobine libre conçue aux fins d'utilisation dans un projecteur possédant sa propre bobine réceptrice. Cette catégorie comprend les pistes sonores de films cinématographiques destinées à accompagner des images visuelles qui sont sur un autre support |
| u |
Non précisé. L'indication spécifique du genre de document pour le film cinématographique n'est pas précisée. |
| z |
Autre. Un type de film cinématographique pour lequel aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂd Couleur |
Caractéristiques relatives à la couleur du film cinématographique.
| b |
Noir et blanc. L'image est imprimée ou exécutée en noir et blanc. |
| c |
Multicolore. L'image est imprimée ou réalisée en plusieurs couleurs. Utiliser pour les procédés photographiques en couleurs. |
| h |
Coloré à la main. Film coloré à la main qui est produit par soit un procédé photographique ou d’impression, coloré à la main. Ce code est rarement attribué aux films commerciaux puisqu'ils ne sont habituellement pas colorés à la main. Le code h prime sur tout autre code. |
| m |
Mélange. Le film ou la collection est constitué d’un mélange d'images en noir et blanc, multicolores, colorés à la main et/ou d'autres images. |
| n |
Sans objet. Les caractéristiques de couleur ne sont pas applicables car le document n'a pas d'images. Utiliser, par exemple, lorsque le document en main est une bande sonore de film destiné à accompagner des images visuelles qui ne sont pas présentes. |
| u |
Inconnu. Les caractéristiques relatives à la couleur du film cinématographique ne sont pas connues. |
| z |
Autre. Des caractéristiques relatives à la couleur pour lesquelles aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂe Format de présentation de film cinématographique |
Le format de présentation est le format utilisé dans la production d'une image projetée (par exemple Cinerama, IMAX) qui indique si le film cinématographique utilise un format de présentation standard ou spécial. Traiter les films cinématographiques comme des films standards non panoramiques (code a), sauf indication contraire. Les codes b, c, d et e s’appliquent aux techniques de présentation sur écran panoramique.
| a |
Format standard sonore (image réduite). Utiliser pour les formats non panoramiques (grand écran). Comprend tous les films sonores standards 35 mm, 16 mm et super 8 mm. Doit être utilisé même pour les films muets dans lesquels un espace a été laissé pour l'inclusion d'une bande sonore, c'est-à-dire lorsqu'une image muette plein format a été recadrée pour laisser de la place à une bande sonore. |
| b |
Non anamorphique (écran panoramique). Formats qui permettent d’obtenir l’effet d’écran panoramique sans compresser optiquement l’image ni faire appel à des techniques spéciales de projection. Le procédé non anamorphique pour écran panoramique est principalement associé aux formats 35 mm et plus large où l’image sur la pellicule est naturelle, c’est-à-dire non compressée optiquement et dont la hauteur du cadre est plus petite, lequel est agrandi par projection sur un écran panoramique à l’aide de lentilles normales et d’une plaque avec fenêtre en vue d’obtenir le rapport de cadre requis. Comprend les formats Todd-AO, Super-Panavision et les autres formats de présentation qui utilisent des lentilles sphériques pour créer l'effect d'écran panoramique. |
| c |
3D. Utiliser pour les films qui produisent un effet tridimensionnel principalement à l'aide de deux projecteurs qui superposent deux images du film sur l'écran (habituellement un écran panoramique). On l'associe généralement avec les films 35 mm. Les verres polarisés portés par les cinéphiles aident à créer l'impression de profondeur et de dimension |
| d |
Anamorphique (écran panoramique). Films qui permettent d'obtenir un effet d'écran panoramique par le bais d'une image qui est compressée optiquement ou rapetissée horizontalement. L'image est ensuite agrandie aux proportions adéquates par projection sur un écran à l'aide de lentilles spéciales dont le facteur de grossissement latéral est plus grand que celui vertical. Ce format a été lancé et adopté en 1953 à des fins commerciales sous le nom de Cinémascope, suivi de Techniscope (1963), de Naturama, de Panavision, etc. On l'utilise également pour les films de 16 mm qui ont recours à ce procédé. |
| e |
Autre format d'écran large. Ce code est utilisé pour tout autre procédé à écran large non couvert par les autres codes. Ces formats comprennent Cinérama, Viterama, Cinemiracle, Circarama et d'autres formats qui permettent d'obtenir un effet d’écran panoramique au moyen de la projection simultanée d'épreuves distinctes sur des écrans très larges, parfois assez courbés, à l'aide de multiprojecteurs qui agrandissent l'image projetée par une série d'images, placées habituellement côte à côte. OCLC définissait précédemment le code e comme 'autre'. Cette définition est périmée. Utiliser le code z pour autre. |
| f |
Format standard muet (plein cadre). Utiliser pour les films de 35 mm sur lesquels l'image exposée prend environ la largeur de l'espace entre les perforations du cadre. Il s'agissait du format standard des films muets en usage à partir de 1899 environ jusqu'à la fin des années 20, époque à laquelle le film sonore a été lancé et la taille du cadre a diminué pour laisser de l'espace pour placer la piste sonore. |
| u |
Inconnu. Le format de présentation du film cinématographique est inconnu. |
| z |
Autre. Un format de présentation pour lequel aucun des autres codes n'est approprié. Un exemple est le format IMAX 70 mm, qui est un format à usage limité non rectangulaire, circulaire à 180 degrés et non normalisé. IMAX n'est peut-être pas techniquement considéré comme un format grand écran car il n'a pas de rapport hauteur/largeur, mais il permet d'obtenir un effet d'écran large. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂf Son sur support ou distinct |
Utiliser pour indiquer si le son se trouve sur le document même ou sur du matériel d'accompagnement. Supposer que le document possède du son et que le son est sur le support, sauf indication contraire. Si le document est muet, ne pas utiliser la sous-zone ǂf.
| a |
Son sur le support. Il y a présence de son sur le film cinématographique. Toujours utiliser lors du codage d'une piste sonore distincte qui fait physiquement partie du film (par exemple une bande magnétique sur le bord du support du film). |
| b |
Son distinct du support. Le son est sur un support distinct, conçu pour accompagner les images (par exemple une cassette). |
| u |
Inconnu. La présence ou l’absence de son sur le document n’est pas connue. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂg Support sonore |
Indique le support précis utilisé pour le son d'un document (que ce son soit sur le document même ou sur le matériel d'accompagnement) et le type d'appareil de lecture sonore requis. Utilisé en conjonction avec les informations codées dans le sous-zone ǂf et la sous-zone ǂh. En règle générale, les supports sonores sont : 1) une piste optique ou magnétique sur une bobine de film ou dans une cassette ou une cartouche; 2) une bande audio ou vidéo sur bobine, dans une cassette ou en cartouche; et 3) un disque sonore ou un vidéodisque. Supposer que le son sur bande est magnétique. Utiliser les codes c à f pour les films dans lesquels le son est séparé. Si le document est muet, ne pas utiliser la sous-zone ǂg.
| a |
Piste sonore optique sur le film. Le son qui accompagne le document se trouve sur une piste optique qui fait partie du film. Les pistes sonores optiques constituent le procédé le plus courant pour les films de 16 mm et de 35 mm. |
| b |
Piste sonore magnétique sur le film. Le son qui accompagne le document se trouve sur une piste magnétique distincte qui fait partie du film. Les films cinématographiques de 70 mm comprennent souvent des pistes sonores magnétiques. En général, les films 8 mm ont des pistes sonores magnétiques. Une bande brune ou cuivrée sur le film indique une piste sonore magnétique. |
| c |
Bande magnétique audio en cartouche. Le son qui accompagne le document se trouve sur une bande magnétique audio en cartouche. |
| d |
Disque sonore. Le son qui accompagne le document se trouve sur un disque sonore. Les disques sonores comprennent les disques phonographiques de 7, 10 et 12 po en vinyle et les disques compacts de 4 3/4 po. |
| e |
Bande magnétique audio en bobine. Le son qui accompagne le document se trouve sur une bande magnétique audio sur bobine. |
| f |
Bande magnétique audio en cassette. Le son qui accompagne le document se trouve sur une bande magnétique audio en cassette. |
| g |
Piste sonore optique et magnétique sur le film. Le son qui accompagne le document se trouve et sur une piste sonore optique et magnétique. |
| h |
Bande vidéo. Le son qui accompagne le document se trouve sur une bande vidéo. Normalement, les bandes vidéo ne sont pas utilisées pour enregistrer seulement le son. |
| i |
Vidéodisque. Le son qui accompagne le document se trouve sur un vidéodisque.Normalement les vidéodisques ne sont pas utilisés pour enregistrer seulement le son. Il faut toutefois faire une distinction entre les vidéodisques, par exemple les vidéodisques à lecteur laser de 12 po qui comprennent de l'information vidéo, et les disques compacts qui ne sont utilisés que pour enregistrer du son, par exemple les disques compacts de 4 3/4 po. Cependant, la même technologie est utilisée pour enregistrer physiquement de l'information vidéo ou audio sur des systèmes de disques numériques. |
| u |
Non précisé. Le support matériel du son est inconnu. |
| z |
Autre. Un support de son pour lequel aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂh Dimensions |
Utiliser pour indiquer la largeur de la pellicule d'un film cinématographique. Seuls les codes qui correspondent exactement aux dimensions du document telles que mentionnées dans la description matérielle devraient être utilisés. Le code z est utilisé lorsqu'aucun code ne correspond aux dimensions exactes du document.
| a |
Film standard 8 mm - La largeur du film est celle d'un film en format standard de 8 mm. Le code a est aussi attribué aux films portant la mention Mauer 8 mm. |
| b |
Super 8 mm / Simple 8 mm - La largeur du film est celle d'un film en format Super 8 mm. Le film Simple 8 mm est l'équivalent japonais du film Super 8 mm. |
| c |
9,5 mm - La largeur de la pellicule correspond à 9.5 mm. |
| d |
16 mm - La largeur de la pellicule correspond à 16 mm. |
| e |
28 mm - La largeur de la pellicule correspond à 18 mm. |
| f |
35 mm - La largeur de la pellicule correspond à 35 mm. |
| g |
70 mm - La largeur de la pellicule correspond à 70 mm. |
| u |
Inconnu. Les dimensions de la pellicule du film cinématographique ne sont pas connues. |
| z |
Autre. Des dimensions de pellicule de film cinématographique pour lesquelles aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂi Configuration des canaux de lecture |
Utiliser pour indiquer la configuration des canaux de lecture pour la partie sonore d'un film. Ce élément de données devrait être codé s'il est clairement indiqué que les canaux de lecture sont destinés aux fins de lecture. Ces codes ne font pas référence à la configuration des canaux enregistrés à l'origine, sauf si ces canaux sont tous disponibles aux fins de lecture. Le code doit correspondre aux informations contenues dans la description physique ou dans une note.
| k |
Mélange. Plus d'une configuration des canaux de lecture de la partie sonore est disponible sur un film cinématographique simple. Par exemple, une bande possédant des pistes sonores optiques monophoniques et des pistes sonores magnétiques stéréophoniques. |
| m |
Monophonique. La partie sonore d'un film cinématographique est configurée aux fins de lecture sur un canal. |
| n |
Sans objet. Utiliser lorsque le film est muet, n'a pas de son, ou que le son est sur un support distinct (la sous-zone ǂf est codée b). Utiliser également pour décrire un document dont le son est distinct du support. Une autre position 007 représentant l'enregistrement sonore sur du matériel d'accompagnement par exemple, du son sur une cassette, renfermerait la description de la configuration des canaux de lecture. |
| q |
Tétraphonique, polyphonique, ambiophonique. La partie sonore d'un film cinématographique est configurée aux fins de lecture sur plus de deux canaux. Utiliser ce code s'il s'agit de pistes ambiophoniques (son d'ambiance) le Dolby Surround Sound par exemple et d'autres techniques à canaux multiples. |
| s |
Stéréophonique. La partie sonore d'un film cinématographique est configurée aux fins de lecture sur deux canaux. Utiliser ce code lorsque le support n'est pas monophonique et lorsqu'il n'est pas possible de vérifier que plusieurs sources de lecture sont disponibles ou prévues. |
| u |
Inconnu. La configuration des canaux de lecture est inconnue. |
| z |
Autre. Une configuration des canaux de lecture pour laquelle aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂj Éléments de production |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer si le film fait partie d'une production complète ou s'il s'agit d'un élément préliminaire ou de post-production. Les ouvrages codés dans cette position ne représentent pas un ouvrage complet, c'est-à-dire un film complété. Si plusieurs éléments s’appliquent, coder l’élément prédominant.
| a |
Copie de montage. Une copie de montage qui constitue une épreuve de séquences originales d'un film qui est éditée à un degré précis pour produire la version définitive. |
| b |
Chutes. Sections de séquences qui restent après que les parties que l'on désire conserver ont été incorporées à la copie de montage. |
| c |
Rejets. Séquences rejetées au montage d'un film. |
| d |
Épreuves. Épreuves de tournage, c'est-à-dire les images d'un film telles qu'elles sortent du laboratoire qui constituent les séquences de tournage de la journée précédente. Aussi appelées « premiers positifs ». |
| e |
Pistes de mixage. Pistes sonores distinctes qui sont combinées afin de produire la piste sonore finale d'un film. Les pistes de mixage peuvent comprendre de la musique, des effets spéciaux et des pistes de dialogue. |
| f |
Génériques / bobines intertitres. Bandes titres ou rouleaux inter-titres, c'est-à-dire des sous-titres imprimés ou des titres qui ont été séparés de leur image correspondante. |
| g |
Bobines de production. Divers types d'éléments de production avant qu'ils soient coupés et assemblés sur une bobine. Les films sont habituellement enroulés sur des cylindres. |
| n |
Sans objet. Utiliser si le document n’est pas un élément de production. |
| z |
Autre. Éléments de production pour lesquels aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂk Polarité |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer si le document est sur un film cinématographique positif ou négatif. La polarité fait allusion au genre d'émulsion liée à un support.
| a |
Positif. Un film dans lequel les couleurs ou les valeurs des teintes sont les mêmes que celles du sujet original. |
| b |
Négative. Pour un film noir et blanc, les valeurs d'une teinte sont le contraire de celles du sujet original. S'il s'agit d'un film en couleurs, les valeurs d'une teinte sont les compléments d'un sujet (par exemple, le rouge paraît vert sur un négatif en couleurs). |
| n |
Sans objet. Utiliser pour un film qui n'a pas de polarité. |
| u |
Inconnu. Utiliser lorsque la polarité du film est inconnue. |
| z |
Autre. Utiliser si aucun autre code ne convient à la polarité du film. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂl Générations |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer à quel point se situe un document par rapport au document original ( par exemple, le film négatif actuel ou la bande vidéo dans la caméra). Les données de génération servent à évaluer la qualité des copies disponibles afin de prendre des décisions relatives à la conservation et d'identifier les documents disponibles aux fins de visionnement et de recherche. Le concept de génération représente le processus photographique requis pour créer, dupliquer et conserver des images en mouvement. Le matériel produit successivement à partir de l'original est un matériel de deuxième, troisième, quatrième, etc. génération (par exemple, du négatif original à la matrice positive, du négatif en double à l'épreuve de référence).
| d |
Double. Un double qui est habituellement un négatif, que l'on appelle un contretype négatif, et qui constitue une reproduction d'une image ou d'une piste sonore originale. Un contretype négatif est produit à partir d'un positif intermédiaire, qui, à son tour, est fabriqué à partir d'un négatif antérieur. Un double se situe à au moins trois générations de l'original. Les contretypes négatifs peuvent être préparés afin d'obtenir des caractéristiques qui ne sont pas présentes dans l'image originale, comme c'est le cas pour le travail d'effets spéciaux, ou pour protéger et prolonger la disponibilité de production d'un négatif original assemblé, par exemple si des contretypes négatifs sont préparés pour servir de copies d’exploitation simultanément dans des laboratoires différents. |
| e |
Matrice. Une matrice qui est habituellement positive et appelée un positif intermédiaire. Il s'agit d'une épreuve positive préparée d'une façon spéciale à partir d'un négatif defilm d'une génération antérieure qui est utilisée aux fins de préparation de contretypes négatifs etnon aux fins de projection. La matrice est habituellement considérée comme étant un document de deuxième génération. |
| o |
Original. Un original qui est habituellement négatif. Il s'agit du film exposé dans une caméra et, par conséquent, de meilleures qualités qu'un document d'une génération ultérieure. Lorsqu'on fait allusion à un film plus ancien, l'original est presque toujours négatif. Cependant, le film original peut aussi être un positif inversible. |
| r |
Épreuve de référence / copie de visionnement. Une copie de référence que l'on définit techniquement comme une copie d’exploitation qui a été approuvée par le réalisateur et le directeur d'un film. Une copie de référence peut aussi signifier qu'il s'agit d'une copie ou d'une épreuve conservée à titre de copie de référence pour évaluer la qualité des copies ultérieures. Dans les archives de film, ce terme sert à indiquer qu'un film peut être visionné par des chercheurs. Il ne s'agit pas d'un original, ni d'une matrice, ni d'un double. |
| u |
Inconnu. L'étape de génération du film est inconnue. |
| z |
Autre. Aucun autre code ne convient à l'étape de génération d'un film. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂm Support |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Le support de sécurité de l'image en mouvement qui est le matériau physique sous-jacent de la ressource cinématographique. Le support de sécurité est un support relativement non-inflammable qui est conforme aux exigences relatives aux supports de sécurité. Sur certains films, le terme support de sécurité apparaît sur le bord du film cinématographique. Le support de nitrate est un support hautement inflammable qui n'est pas conforme aux exigences relatives aux supports de sécurité.
| a |
Support de sécurité, indéterminé. Un support de sécurité dont le type n'a pas été identifié. |
| c |
Support de sécurité, acétate, indéterminé. Un support de sécurité d'acétate dont le type exact ne peut être déterminé, soit qu'on ignore s'il est de type diacétate ou triacétate. |
| d |
Support de sécurité, diacétate. Un support de sécurité de diacétate de cellulose. Mis sur le marché avant la Première Guerre mondiale pour les films familiaux, le support de diacétate était plus dispendieux et plus imprévisible que le support de nitrate; pour cette raison, il n'a pas été accepté pour la production de films 35 mm professionnels. |
| i |
Support de nitrate. Un support de nitrate de cellulose. Jusqu'en 1951, on utilisait le support de nitrate de cellulose pour la production de films 35 mm (et parfois pour les 17,5 mm). Les films sur support de nitrate sont hautement inflammables. Ce support n'est pas conforme aux exigences relatives aux supports de sécurité. |
| m |
Support mixte (de nitrate et de sécurité). Un support mixte composé de nitrate et de sécurité. Au début des années 50, on utilisait souvent des supports mixtes au moment où des images d'archives sur support de nitrate étaient collées sur un film sur support de sécurité pour des films cinématographiques à faible budget. Dans de telles productions, jusqu'à la moitié du film comprenait des images d'archives sur un film sur support de nitrate. |
| n |
Sans objet. Le document ne possède pas de support, par exemple un film de papier. |
| p |
Support de sécurité, polyester. Un support fabriqué avec une résine synthétique comme le support Estar. |
| r |
Support de sécurité, mixte. Supports de sécurité mixtes collés ensemble et exempts de nitrate. Ne pas utiliser si les supports mixtes sont à base de nitrate. |
| t |
Support de sécurité, triacétate. Un support de triacétate de cellulose. C’est un composé à haute teneur en acétate qui se caractérise par sa faible inflammabilité et sa combustion lente. Depuis 1951, le triacétate est utilisé par les professionnels et les amateurs de production de films animés. |
| u |
Inconnu. Le support du film est inconnu. |
| z |
Autre. Un support de film pour lequel aucun des autres codes n'est approprié. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂn Catégories précises de couleurs |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer des caractéristiques de couleur plus spécifiques de l'image en mouvement que celles contenues dans la sous-zone ǂd (Couleur). Si les parties en couleurs d'un document comprennent plus d'un procédé chromatique, il faut entrer le code du procédé chromatique prédominant. Si aucun procédé chromatique ne prédomine, utiliser le code z. Les procédés chromatiques supplémentaires sont décrits dans la zone 500.
| a |
3 couches, couleurs. Film avec trois couches d'émulsion : cyan, magenta et jaune. Chaque couche est sensible à sa propre couleur primaire. Au début des années 50, les œuvres cinématographiques en couleurs, qui en étaient à leurs débuts, étaient réalisées principalement sur des films à trois couches, que l'on appelait aussi des films à couches multiples. Ce procédé est également connu sous le nom de tripack intégral. |
| b |
2 couleurs, bande unique. Un système de couleurs dans lequel une bande unique de films a été exposée avec des paires d'images à l'aide d'un prisme séparateur de faisceaux. Une des paires d'images a été exposée au moyen d'un filtre rouge et l'autre paire, au moyen d'un filtre vert. Le négatif produit a été utilisé pour produire les deux images comprenant deux bandes collées ensemble et, plus tard dans l'historique du procédé, le procédé bichrome. Connu également sous le nom de Technicolor rouge et vert, le procédé était utilisé exclusivement par Technicolor et a connu son apogée entre 1922 et 1933, même s'il a été utilisé jusqu'en 1936 pour les dessins animés. |
| c |
2 couleurs indéterminées. Un système de reproduction en couleurs, qui ne peut pas être identifié précisément, dans lequel le spectre visible est divisé en régions bleues et rouges ou en régions rouges et vertes aux fins d'enregistrement et de présentation. Même si ce système a beaucoup été utilisé dans les premiers procédés de films en couleurs, tous ces systèmes, en raison de l'incapacité inhérente de deux composantes pour reproduire une gamme de teintes satisfaisantes, sont devenus désuets lorsque les procédés à trois couleurs sont devenus facilement disponibles et relativement peu dispendieux. |
| d |
3 couleurs indéterminées. Un système de reproduction en couleurs, qui ne peut pas être identifié précisément, dans lequel le spectre visible est divisé en trois sections, habituellement en rouge, en vert et en bleu, aux fins d'enregistrement et de présentation. |
| e |
3 bandes, couleurs. Un système de couleurs dans lequel des négatifs de sélection sont produits sur un film en noir et blanc. On utilise souvent les trois bandes couleur comme synonyme pour la marque de commerce Technicolor. Dans le système Technicolor à trois composantes, la lumière reflétée du sujet est transmise au moyen d'une lentille simple d'une caméra spéciale où elle entre dans un prisme. Une partie de la lumière passe à travers le prisme et un filtre vert pour produire un négatif vert. Le reste de la lumière est réfléchie par le prisme et absorbée par des négatifs pour produire des négatifs rouges et bleus. Chacun des négatifs est développé pour produire de nouveaux négatifs qui ressemblent à des négatifs en noir et blanc |
| f |
2 bandes, couleurs. Un système de couleurs dans lequel deux bandes de films, une pour enregistrer la lumière rouge et l'autre, la lumière bleue, passent dans la caméra simultanément et sont exposés par la base de la partie avant du film. Ces deux bandes de négatifs sont ensuite utilisées pour produire des épreuves d'une substance de film duplitisée (une substance de film dont la base les deux côtés sont enduits d'émulsion), ayant une image à colorant rouge sur un côté et une image à colorant bleu ou une image teintée de bleu sur l'autre côté. Même si ce système a beaucoup été utilisé dans les premiers procédés de films en couleurs, tous ces systèmes, en raison de l'incapacité inhérente de deux composantes pour reproduire le spectre visible de couleurs, sont devenus désuets lorsque les procédés à trois couleurs étaient facilement disponibles. Ce procédé a été utilisé d'environ 1929 à 1950 par plusieurs compagnies, notamment Cinecolor, Magnacolor et Multicolor. |
| g |
Bande rouge. Le procédé Cinécolor, dans lequel le négatif de séparation de couleurs de la lumière bleu-vert s'imprime en rouge. Dans le procédé Super Ciéecolor, le négatif de séparation des couleurs de la lumière verte s'imprime en magenta (appelé « rouge » par Cinécolor). Dans le procédé Technicolor à deux couleurs, il indique le négatif de séparation des couleurs de la lumière verte qui s'imprime en rouge. |
| h |
Bande bleue ou verte. Le procédé Cinécolor et le procédé Super Cinécolor, dans lesquels la bande bleue constitue le négatif de la séparation des couleurs de la lumière rouge qui s'imprime en bleu-vert (appelé ‡ bleu „par Cinécolor). Dans le procédé Technicolor à deux couleurs, il précise que la bande verte constitue le négatif de séparation des couleurs de la lumière magenta-rouge qui s'imprime en vert. |
| i |
Bande cyan. Un négatif de séparation de couleurs de la lumière rouge qui s'imprime en cyan. |
| j |
Bande magenta. Un négatif de séparation de couleurs de la lumière verte qui s'imprime en magenta. |
| k |
Bande jaune. Un négatif de séparation de couleurs de la lumière bleue qui s'imprimeen jaune. |
| l |
S E N 2. Un négatif à deux couleurs à expositions successives. Le S E N 2 est une méthode de photographie en couleurs pour les films cinématographiques permettant d'enregistrer la séparation en deux couleurs des images négatives sur une bande de films en photographiant chaque image deux fois de suite à l'aide de filtres rouge et bleu. Le négatif ainsi obtenu est ensuite imprimé optiquement à l'aide d'un mécanisme de tirage en accéléré. On utilisait ce procédé seulement pour la photographie de sujets de dessins animés et des marionnettes dans laquelle on peut contrôler le mouvement d'une image à l'autre. Le procédé à expositions successives est devenu désuet lorsque l'on a lancé le film négatif en couleurs à trois couches (à couches multiples). |
| m |
S E N 3. Un négatif à trois couleurs à expositions successives. Le S E N 3 est une méthode de photographie en couleurs pour les films cinématographiques permettant d'enregistrer la séparation en trois couleurs des images négatives sur une bande de films en photographiant chaque image trois fois de suite à l'aide de filtres rouge, bleu et vert. Le négatif ainsi obtenu est ensuite imprimé optiquement à l'aide d'un mécanisme de tirage en accéléré. On utilisait ce procédé uniquement pour la photographie de sujets de dessins animés et des marionnettes dans laquelle on peut contrôler le mouvement d'une image à l'autre. Le procédé à expositions successives a été peu utilisé après le lancement du film négatif en couleurs à trois couches (à couches multiples). |
| n |
Sans objet. Utiliser si le document n'est pas un film en couleur. |
| p |
Tonalité sépia. Tonalité sépia, qui est une conversion d'une image argentique en noir et blanc à la tonalité sépia (soit d'un gris brunâtre à un brun olive foncé) obtenue à l'aide de composés métalliques.Le virage sépia des épreuves de films en noir et blanc était le plus couramment utilisé pour des séquences spéciales lorsqu’on désirait obtenir un effet plus dramatique ou plus artistique. |
| q |
Autre tonalité. Une couleur créée à l'aide de composés chimiques qui modifient les couleurs, par exemple, l'uranium produit la couleur rouge ou augmente la brillance d'une image. Le virage diffère de la teinte en ce sens que les parties claires du film demeurent inchangées. Seule l'image argentique du film positif est colorée. |
| r |
Teinté. Au début de l'histoire de la teinture, on créait une teinte en trempant un film dans un bain de colorants chimiques pour obtenir une teinte dominante. Plus tard, la pellicule inversible est devenue disponible et était déjà teintée dans onze tons, notamment la couleur pêche pour la couleur de la peau, le bleu pour le clair de lune, la couleur ambre pour la lumière du feu, etc. Un film peut être teinté en partie ou en totalité. La teinture était utilisée couramment, et ce, jusqu’à l'avènement du son. |
| s |
Teinté et viré. Indique qu'on a ajouté de la couleur au film à l'aide d'un support teinté et d'une émulsion virée. |
| t |
Coloré au pochoir. Indique qu'on a ajouté de la couleur à l'aide de pochoirs, c'est-à-dire un pour chaque couleur. La couleur au pochoir a remplacé le coloriage à la main utilisé dans les premières années. |
| u |
Inconnu. Les catégories précises de couleurs sont inconnues. |
| v |
Coloré à la main. L'image, produite par un procédé photographique, est colorée à la main. Utiliser ce code lorsque le code h (coloré à la main) est présent dans la sous-zone ‡d. |
| z |
Autre. Catégories précises de couleurs pour lesquelles aucun autre code n'est approprié. Par exemple, s'il n'y a pas de procédé en couleurs prédominant. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂo Type de film ou de tirage |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer le type de pellicule couleur ou d'impression couleur du film cinématographique.
| a |
Épreuves produites par transfert hydrotypique. Épreuves en couleurs d'un film cinématographique créées par le transfert d'images comprenant au moins deux colorants différents sur une bande unique de films vierges. Le procédé du transfert hydrotypique de colorants a seulement été utilisé pour produire des épreuves. On peut produire des épreuves par transfert hydrotypique de colorants à partir d'un film tourné à l'origine sur une pellicule à plusieurs bandes ou à couches multiples. Le procédé a été utilisé seulement par la Technicolor Company à partir de 1928 environ jusqu'à 1975. Les brevets ont été vendus à la Chine, et, depuis 1980, le procédé n'est disponible qu'en Chine. |
| b |
Pellicule à trois couches. La substance du film en couleurs possède trois couches d'émulsion : cyan, magenta et jaune. Chaque couche est sensible à sa propre couleur primaire. Depuis les années 50, la majorité des films en couleurs ont été tournés et imprimés sur cette substance. On l'appelle aussi la substance de film à couches multiples. |
| c |
Pellicule à trois couches, faible altération. La substance du film en couleurs possède trois couches d'émulsion : cyan, magenta et jaune. Chaque couche est sensible à sa propre couleur primaire et est stabilisée pour réduire la décoloration dans la mesure du possible. Cette substance est disponible depuis environ 1983. |
| d |
Pellicule à double face. Une substance de film en couleurs possédant de l'émulsion sur les deux côtés. Habituellement, un côté est teint en rouge et l'autre est teint ou viré en bleu. |
| n |
Sans objet. Utiliser si le document n'est pas un film en couleur. |
| u |
Inconnu. Le genre de substances de film en couleurs est inconnu. |
| z |
Autre. Aucun autre code ne convient au genre de substance de film en couleurs. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂp Niveau de détérioration |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer le niveau de détérioration du film cinématographique. Utiliser les codes b à h pour indiquer la détérioration du support de nitrate. Utiliser les codes k à m pour indiquer la détérioration des documents sans nitrate (par exemple un support de sécurité). Les codes sont répertoriés dans chaque catégorie en fonction de la gravité de la détérioration. Si plusieurs conditions s’appliquent au film en main, le code de la condition la plus grave est indiqué.
| a |
Non apparent. Aucune détérioration n’est apparente sur la pellicule d’un film cinématographique sur un support de nitrate ou non. |
| b |
Nitrate : odeur suspecte. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate qui émet une odeur suspecte. |
| c |
Nitrate : odeur âcre. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate qui émet une odeur âcre. |
| d |
Nitrate : brunâtre, décoloré, altéré, poussiéreux. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate dont l'image du film s'estompe et l'émulsion présente une décoloration brunâtre. |
| e |
Nitrate : collant. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate dont l'émulsion du film est devenue collante, émettant une légère odeur nocive. |
| f |
Nitrate : mousse, bulles, cloques. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate dont l'émulsion du film s'est ramollie et est cloquée de bulles de gaz, émettant une forte odeur. |
| g |
Nitrate : coagulé. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate dont le film s'est figé en une masse solide, émettant une forte odeur nocive. |
| h |
Nitrate : poudre. Utiliser pour indiquer la détérioration du support de nitrate dont le film s'est désintégré en poudre brunâtre et âcre. |
| k |
Non-nitrate : détérioration visible. Utiliser pour indiquer la détérioration de documents sur support non nitrate (support de sécurité, etc.) à ses premiers stades, y compris la présence d'odeur de diacétate. |
| l |
Non-nitrate : détérioration avancée. Utiliser pour indiquer la détérioration de documents sur support non nitrate (film de sécurité, etc.) à ses stades avancés. |
| m |
Non-nitrate : désastre. Utiliser pour indiquer la détérioration de documents sur support non nitrate (film de sécurité, etc.) dans ses étapes finales. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂq Degré d’achèvement |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Utiliser pour indiquer si le film cinématographique catalogué est jugé complet.
| c |
Complet. Le film cinématographique catalogué est jugé complet. |
| i |
Incomplet. Le film cinématographique catalogué est jugé incomplet. |
| n |
Sans objet. Utiliser lorsque le degré d'achèvement n'est pas applicable au type de film cinématographique, par exemple, s'il s'agit de films familiaux, de séquences non éditées, de chutes et, dans certains cas,de documents non identifiés, etc. |
| u |
Inconnu. Le degré d'achèvement du film cinématographique est inconnu. |
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Aucune tentative de coder |
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| ǂr Date d’inspection du film |
Position de caractère principalement destinée à un usage archivistique. Six caractères indiquant la date d'inspection la plus récente du film; la date est saisie dans le format aaaamm (année/mois). La date d'inspection du film peut être la date à laquelle le document a été catalogué ou la date à laquelle il a été visionné. Un trait d'union est utilisé pour toute partie inconnue de la date. Si la date est totalement inconnue, il faut entrer six traits d'union. Il faut entrer six caractères de remplissage dans cette position s'il n'y a aucune tentative de coder.
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Indexation |
Pour des informations sur l'indexation et la recherche, voir Chercher dans les index WorldCat, zones 001-007. |
MARC 21 |
Pour plus d'informations, y compris l'historique des désignateurs de contenu, voir le Format MARC 21 pour les données bibliographiques, zone 007 (Film cinématographique) (https://www.marc21.ca/MaJ/BIB/B007-FilmCinematographique.pdf). |