007  Zone fixe de description matérielle (Image de télédétection) (R)

Image de télédétection. Le document est une image produite par un appareil enregistreur qui n'est pas en contact physique ni étroit avec l'objet à l'étude. Il peut s'agir d'une carte ou d'une autre image obtenue au moyen de divers appareils de télédétection, notamment des caméras, des ordinateurs, des lasers, des récepteurs radiofréquences, des systèmes de radar, des sonars, des sismographes, des gravimètres, des magnétomètres et des conteurs à scintillations. Si l'image comprend également des données cartographiques ou bibliographiques, on l'appelle alors une carte de télédétection.

Non précisé. L'indication spécifique du genre de document pour de l'image de détection n'est pas précisée.

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Surface. L'image de télédétection a été produite à l'aide d'un appareil situé à la surface d'un corps céleste, habituellement une planète ou une lune.

Aéroporté. L'image de télédétection a été produite à l'aide d'un appareil situé au-dessus de la surface d'un corps céleste, situé généralement dans l'atmosphère, notamment un avion, un ballon ou un autre appareil aéroporté.

Spatial. L'image de télédétection a été produite à l'aide d'un appareil situé dans l'espace. Les capteurs spatiaux sont ceux qui sont situés au moins au-delà de la première couche d'une atmosphère (habituellement en orbite).

Sans objet. L'altitude du capteur ne s'applique pas à l'image.

Inconnu. L'altitude du capteur de l'image de télédétection prise à partir duquel l'image a été prise est inconnue.

Autre. Aucun autre code ne convient à l'altitude du capteur.

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Oblique basse. L'angle (l'axe optique) de l'appareil de télédétection est dirigé plus près de l'horizontale que de la verticale par rapport à la surface saisie pour produire une image. Sous cet angle, l'horizon n'apparaît pas sur l'image.

Oblique haute. L'angle de l'appareil de télédétection est dirigé plus près de la verticale que de l'horizontale. Sous cet angle, une ligne d'horizon apparente apparaît sur l'image.

À la verticale. L'angle de l'appareil de télédétection est dirigé à la verticale par rapport à la surface saisie pour produire une image. L'angle vertical est l'angle le plus fréquent pour les photographies aériennes; l'appareil de télédétection est placé directement au-dessus de la surface imagée, la ligne de visée étant perpendiculaire à la surface.

Sans objet. L'angle de l'appareil de télédétection ne s'applique pas, généralement parce que l'assiette n'influe pas sur l'image.

Inconnu. L'angle de l'appareil de télédétection est inconnu.

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0 à 9 %

10 à 19 %

20 à 29 %

30 à 39 %

40 à 49 %

50 à 59 %

60 à 69 %

70 à 79 %

80 à 89 %

90 à 100 %

Sans objet. La couverture de nuages ne s'applique pas à l'image.

Inconnu. L'importance de la couverture de nuages est inconnue.

Aucune tentative de coder

Ballon. La base de l'appareil de télédétection était un ballon ou une plate-forme semblable faisant appel à l'aérostation.

Aéronef - basse altitude. La base de l'appareil de télédétection était un aéronef à portance dynamique conçu pour le vol à basse altitude, soit sous 29 500 pieds (8 962 mètres).

Aéronef − altitude moyenne. La base de l'appareil de télédétection était un aéronef à portance dynamique conçu pour le vol à altitude moyenne, soit entre 29 500 pieds (8 962 mètres) et 49 000 pieds (14 810 mètres).

Aéronef − haute altitude. La base de l'appareil de télédétection était un aéronef à portance dynamique conçu pour le vol à haute altitude, soit au-delà de 49 000 pieds (14 810 mètres).

Engin spatial habité. La base de l'appareil de télédétection était un engin spatial habité.

Engin spatial inhabité. La base de l'appareil de télédétection était un engin spatial inhabité.

Dispositif de télédétection terrestre. La base de l'appareil de télédétection était un dispositif de télédétection terrestre.

Dispositif de télédétection en surface marine. La base de l'appareil de télédétection était conçue pour reposer sur une masse d'eau (par exemple un bateau ou une plate-forme flottante).

Dispositif de télédétection submersible. La base de l'appareil de télédétection était conçue pour être immergée sous la surface d'une masse d'eau (par exemple un sous-marin ou une plate-forme submersible).

Sans objet. Un type de construction de la plate-forme servant de base à l'appareil de télédétection n'est pas applicable.

Inconnu. Le type de construction de la plate-forme à partir de laquelle l'image de télédétection a été réalisée est inconnu.

Autre. Le type de construction de la plate-forme qui a pris l'image de télédétection est inconnu.

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Météorologique. La plate-forme est utilisée principalement pour prendre des images de télédétection de phénomènes météorologiques et des conditions atmosphériques.

Observation en surface. La plate-forme est utilisée principalement pour prendre des images de télédétection de la surface d'une planète (y compris la Terre), d'une lune, etc.

Observation dans l'espace. La plate-forme est utilisée principalement pour prendre des images de télédétection de l'espace.

Utilisation mixte. La plate-forme servant à la prise d'images de télédétection est conçue pour diverses utilisations (soit des utilisations couvertes par au moins deux des autres codes).

Sans objet. L'identification de l'utilisation de la plate-forme ne s'applique pas.

Inconnu. La catégorie d'utilisation de la plate-forme est inconnue.

Autre. Aucun autre code ne convient à l'utilisation de la plate-forme.

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Actif. L'appareil de télédétection possède un détecteur qui mesure la force des réflexions des transmissions qu'il envoie à une cible éloignée.

Passif. L'appareil de télédétection est muni d'un détecteur qui mesure la force des transmissions (pare exemple des radiations) émises par une cible éloignée sans être stimulée par le détecteur.

Inconnu. Le rôle d'un appareil de télédétection dans la création de la transmission qu'il a mesuré est inconnu.

Autre. Aucun autre code ne convient au mode d'enregistrement d'un détecteur.

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Lumière visible. La partie du spectre électromagnétique à laquelle l'œil humain est sensible, soit environ entre environ 0,4 et 0,7 micromètre.

Infrarouge proche. Rayonnement électromagnétique dont les longueurs d'onde vont d'une longueur légèrement supérieure à celle du visible, soit environ 0,7 micromètre à environ 1,4 micromètre. Dans la région infrarouge proche, la composition chimique de surface, le couvert végétal et les propriétés biologiques de la matière de surface peuvent être mesurés en utilisant l'énergie naturellement réfléchie ou rayonnée par le terrain.

Infrarouge intermédiaire. Rayonnement électromagnétique entre l'infrarouge ondes courtes et l'infrarouge thermique, environ de 3,0 à 8,0 micromètres. Dans la région de l'infrarouge intermédiaire, les formations géologiques peuvent être détectées grâce aux propriétés d'absorption liées à la structure des silicates, en utilisant à la fois la lumière solaire réfléchie et le rayonnement émis par la Terre. Il est utile pour : la distinction entre la neige et la glace; la détection des feux de forêt; la teneur en eau des plantes; la distinction entre les nuages, la neige et la glace; la cartographie des formations géologiques et des limites du sol.

Infrarouge lointain. Rayonnement électromagnétique, plus long que l'infrarouge thermique, avec des longueurs d'onde comprises entre environ 15 et 1000 micromètres. Dans la région de l'infrarouge lointain, les émissions de l'atmosphère et de la surface terrestres fournissent des informations sur les températures atmosphériques et de surface, la vapeur d'eau et d'autres constituants à l'état de traces dans l'atmosphère.

Infrarouge thermique. Rayonnement électromagnétique dont les longueurs d'onde sont comprises entre environ 8,0 et 15 micromètres. Cette région du spectre électromagnétique est entièrement dominée par le rayonnement émis par la Terre et permet de prendre en compte les effets de l'absorption, de la diffusion et de l'émission atmosphériques. Il est utile pour la détection du stress des cultures, l'intensité de la chaleur, les applications d'insecticides, la pollution thermique, la cartographie géothermique et les mesures de température de la surface de l'eau.

Infrarouge ondes courtes. Rayonnement électromagnétique entre l'infrarouge proche et l'infrarouge intermédiaire, soit environ 1,4 à 3,0 micromètres. L'infrarouge à ondes courtes peut être utile pour l'exploration minière, les éléments urbains tels que les matériaux de toiture et de construction, la végétation, le pétrole (par exemple une marée noire) et divers autres composés chimiques artificiels. La neige et la glace présentent des variations distinctives dans certaines bandes d'infrarouge à ondes courtes. L'imagerie basée sur le l'infrarouge à ondes courtes peut pénétrer certains types de fumée, comme celle des feux de forêt.

Infrarouge réfléchissant. Énergie électromagnétique de longueurs d'onde comprises entre 0,7 et 3 micromètres environ, constituée principalement du rayonnement solaire réfléchi. L'infrarouge réfléchi est utile pour l'étude de la végétation et l'identification des types de roches et de sols.

Combinaisons. Plusieurs types de données infrarouges sont applicables à l'image de télédétection.

Autres données d'infrarouge. Un type de données infrarouges, représentant le rayonnement électromagnétique avec des longueurs d'onde comprises entre environ 0,7 et 1000 micromètres, pour l'image de télédétection pour laquelle aucun des autres codes n'est approprié.

Radar latéral aéroporté (SLAR). Un système de balayage latéral aéroporté pour l'acquisition d'images radar à ouverture réelle. SLAR est un capteur à distance tous temps, jour/nuit, particulièrement efficace pour l'imagerie de vastes zones de terrain.

Radar à antenne synthétique (SAR) −monofréquence. Un système radar à antenne synthétique (SAR) qui transmet des impulsions à une fréquence ou longueur d'onde unique.

SAR − multifréquences (plusieurs canaux). Un système radar à antenne synthétique (SAR) à large bande qui transmet des impulsions dans une gamme de fréquences et de longueurs d'onde.

SAR − polarisation parallèle. Un radar à antenne synthétique (SAR) conçu pour émettre et recevoir uniquement des signaux hyperfréquences à polarisation horizontale ou uniquement des signaux hyperfréquences à polarisation verticale.

SAR − polarisation croisée. Un radar à antenne synthétique (SAR) capable d'acquérir simultanément et de manière cohérente plusieurs mesures de polarisation complexes indépendantes pour chaque pixel de l'image.

SAR polarimétrique. Un radar à antenne synthétique (SAR) qui permet la mesure de la signature de polarisation complète de chaque élément de résolution.

Cartographie en hyperfréquence passive. Télédétection utilisant le rayonnement dans la gamme de 1 mm à 1 m émis naturellement par tous les matériaux au-dessus du zéro absolu.

Autres données en hyperfréquence. Un type de données en hyperfréquences, représentant le rayonnement électromagnétique avec des longueurs d'onde comprises entre environ 1000 micromètres et 1 m, pour l'image de télédétection pour laquelle aucun des autres codes n'est approprié.

Ultraviolet lointain. La région de l'ultraviolet lointain s'étend de 0,122 à 0,2 micromètres, approximativement du début d'une forte absorption d'oxygène jusqu'à la limite de disponibilité des matériaux de fenêtre robustes, la limite de transmission du fluorure de lithium.

Ultraviolet intermédiaire. La région de l'ultraviolet intermédiaire s'étend de 0,2 à 0,3 micromètres, soit approximativement la région située entre la limite de courte longueur d'onde solaire au niveau du sol et le début de la forte absorption de l'oxygène moléculaire. La majeure partie du rayonnement solaire dans cette gamme est absorbée dans l'atmosphère par l'ozone.

Ultraviolet proche. La région de l'ultraviolet proche s'étend de 0,3 à 0,4 micromètres, depuis la limite de courte longueur d'onde de la vision humaine jusqu'à la limite de courte longueur d'onde de l'ultraviolet solaire qui atteint la surface de la Terre. L'ultraviolet proche peut être utilisé dans les observations atmosphériques.

Combinaisons d'ultraviolet. Plusieurs types de données d'ultraviolet sont applicables à l'image de télédétection.

Autres données d'ultraviolet. Un type de données d'ultraviolet, représentant le rayonnement électromagnétique avec des longueurs d'onde comprises entre environ 0,01 et 0,4 micromètres, pour l'image de télédétection pour laquelle aucun des autres codes n'est approprié.

Multispectrale, multidonnées. L'acquisition simultanée d'images de télédétection d'une même scène dans différentes bandes de longueurs d'onde. L'imagerie multispectrale de télédétection peut être utilisée pour distinguer différents types d'environnements (par exemple la couverture végétale urbaine par rapport à une couverture végétale agricole).

Multitemporel. L'acquisition d'images de télédétection d'une même scène observée au fil du temps.

Combinaison de divers types de données. Plusieurs types de données peuvent être appliqués à l'image de télédétection.

Sonar − profondeur de l'eau. Le type de données acoustiques pour l'image de télédétection pour la profondeur de l'eau est le sonar. Ce code est également utilisé pour les images obtenues par échographie.

Sonar − image de la topographie du fond, balayage latéral. Le type de données acoustiques pour l'image de télédétection est l'imagerie par balayage latéral. L'imagerie par balayage latéral comprend des données de télédétection à la fois près de la surface et près du fond.

Sonar − image de la topographie du fond, au voisinage de la surface. Le type de données acoustiques pour l'image de télédétection est proche de la surface.

Sonar − image de la topographie du fond, au voisinage du fond. Le type de données acoustiques pour l'image de télédétection est proche du fond, c'est-à-dire prises à une distance de 10 à 150 m (33 à 494 pieds) du fond.

Relevés sismiques. Le type de données acoustiques pour l'image de télédétection qui mesure les ondes d'énergie élastique, notamment celles provenant des tremblements de terre, en référence à une zone particulière de la surface de la Terre afin d'évaluer le sous-sol.

Autres données acoustiques. Un type de données acoustiques pour l'image de télédétection pour lequel aucun autre code n'est approprié.

Anomalies de pesanteur (générales). Données de télédétection qui corrigent généralement les différences entre la valeur réelle de la gravité mesurée à un endroit et la valeur prédite par un modèle terrestre particulier.

Réduction à l'air libre. Données de télédétection qui corrigent la variation du champ gravitationnel avec l'altitude par rapport au niveau moyen de la mer, en supposant qu'il n'y a que de l'air entre la station de mesure et le niveau de la mer.

Anomalie de Bouguer. Données de télédétection qui corrigent les variations d'attraction gravitationnelle au point de mesure dues aux masses terrestres solides dans la croûte, ou plus profondément, en raison des différents types et densités de roches.

Anomalie isostatique. Données de télédétection qui corrigent les variations de densité ou d'épaisseur de la croûte terrestre.

Champ magnétique. Données de télédétection qui mesurent les variations du champ magnétique, notamment l'inclinaison, la déclinaison, l'intensité totale et les vecteurs d'intensité horizontaux et verticaux.

Levées radiométriques. Une levée radiométrique qui mesure la distribution spatiale de trois éléments radioactifs (potassium, thorium et uranium) dans les 30 à 45 premiers centimètres de la croûte terrestre en détectant les rayons gamma produits lors de la désintégration radioactive naturelle de ces éléments.

Sans objet. Un type de données n'est pas applicable à l'image de télédétection décrite.

Inconnu. Le type de données de l'image de télédétection est inconnu.

Autre. Un type de données pour l'image de télédétection pour laquelle aucun autre code n'est approprié (par exemple les rayons X).

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